The death record in the "Registres mortuaires des fran�ais refugi�s � Lausanne" (FHL microfilm #0885762) gives his age at death as about 80. The information in the enumerations of Huguenot refugees at Lausanne is probably more reliable.
An Abraham Cellier received bourgeois status in Geneva in 1720. He was also from La C�te de St. Andr�, occupation n�gociant, with sons Jean and Jacob. A document of Jean Anthoine Comparet, notary, (vol. 46, p. 248) relates to the engagement of Abraham Cellier as a servant for Theodore Duhamel, merchant, citizen of Geneva. The surname may have been pronounced with the "palatal jod" sound instead of the normal "l", for it is frequently rendered as "Seiller" or similar in documents from Lausanne in the early 1700's.
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Age about 80, Registres mortuaires des fran�ais refugi�s � Lausanne. Testaments recorded 10 jul 1702 Jaques Besson, and 13 jun 1704 J-L Courlat.
His brother Samuel donated his rights to the inheritance of their parents to Pierre for the benefit of Pierre's children, 21 sep 1713, Jean Ferdinand Besson, notary. Pierre was living in Payerne at that date. His children appear in records of the French church at Bern beginning in 1716, and in 1722 he is identified as "petit bourgeois" of Lausanne. A Pierre Cellier arrived in Philadelphia 16 sep 1748 on the ship Paliena from Rotterdam, perhaps a descendant of this family.
Denombrement des Huguenots (list of 1694-95) shows Elie Seilier or Cellier, cordonnier from La C�te St. Andr�, Dauphin�, age 70, wife Claude Fran�illon age 53, and children Louyse 25, Marie 23, Samuel 22, Pierre 17, Gabrielle 15. The daughters were seamstresses. (The second, later list gives the family's origin as St.Ginier, supposed to be Saint-Geoirs.) The Samuel Cellier who died in 1734 age 62 is thus the right age, and indeed seems to be the only Samuel Cellier in Lausanne.
Samuel and his circle were not mere tradesmen, as we may infer from the following transaction, recorded by Sebastien Buttex, notary at Lausanne:
14 (?) aug 1733: Personnellement se sont constitu�s Mr. Samuel Celier marchand habitant � Lausanne principal d�biteur, Monsieur Louis Francillon marchand bourgeois de cette ville caution solidaire, avec promesse de faire joindre aux pr�sentes Sieur Pierre Marsel beaufils dudit Sr. Celier aussi pour autre solidaire, dans huict jours pour n'estre pas en ville, lesquels ont confess� devoir � Noble et G�n�reux Samuel Constant de Rebecque Citoyen deditte ville Collonel de Leurs Hautes Puissances les Etats d'Hollande Seigneur d'Armenge, quoi qu'absent, s�avoir la somme de Mille Livres argent courant en ce pays, qu'il a promis de preter audit Sr. Celier en lui remettant la pr�sente obligation, laquelle somme ils ont promis de payer dans une ann�e avec la l�gitime int�r�t au cinq pour cent, rendable dans la maison dudit Seigneur d'Armenge, sous l'obligation g�n�rale de leurs biens, fait en pr�sence d'honnette Baltazard Gonsard maistre serrurier habitant enditte ville et honnette Mifr� Dane de la vall�e de Luserne, compagnon serrurier audit Lausanne, t�moins appel�s.
The probate of his testament was recorded in Lausanne (ACV Bg 13bis/6 fol. 11-12v):
Testament de feu le sieur Samuel Cellier, Marchand, habitant � Lausanne.
Notre aide soit au nom de Dieu, Amen.
Moy soussign� ettant en bonne sant�, et de bon sens, par la grace de Dieu, ne s�achant l'heure, ni le moment, qu'il plaira a la Divine Providence, de m'appeler, j'ay cr� mon devoir indispensable de mettre ordre au peu de bien qu'il a pl� a la Divine Providence et me b�nir, pour la tranquillit� de ma famille et pour la mienne, afin qu'a l'heure qu'il plaira a mon Dieu de m'appeller, je sois pr�t a suivre sa sainte volont� ; pour quel effet je prie Dieu de tout mon coeur, qu'il me pardonne tous mes p�chez, pour l'amour de Jesus Christ mon saveur, en m'inputant le merite de son sacrifice tr�s parfait, pour ettre agr�able a mon Dieu, afin qu'au moment qu'il luy plaira de m'appeler de ce Monde, qu'il m'introduise dans le s�jour de Bienheureux pour y jouir des joies et des delices qui ne fineront jamais, Amen ; je fais les m�mes voeux pour mes enfants et pour les enfants de mes enfants, jusques � la generation la plus recul�e, priant Dieu qu'il les preserve tous de malheur, qu'il les conduise tous par son St. Esprit, et qu'a la fin de leur course, ils soient tous re�us dans le s�jour des Bienheureux, et que l� nous puissons dire devant le Seigneur, Nous voici et les enfants que tu nous a[s] donn�, Amen.
Je dispose de mes biens, de la mani�re suivante, je donne deux escus blancs aux pauvres de l'Evech�. Je donne un escublanc pour l'ecole de Charit�. Je veux et j'entens que ma ch�re Jeannette et ma ch�re Pauline prelevent autant que ce que j'ay donn� en Menage a ma ch�re Susette, que consiste a la somme de quinze cent francs, et trois cent francs en habits, ou en linges, et cinquante francs en place d'un habit, et pour bien �galiser, je donne a ma ch�re Jeannette cinquante francs par ann�e a commencer le premier 8bre 1731. Je veux et j'entens que la donnation que feu ma femme a fait, en faveur de ma ch�re Pauline, ait son plein effet, qui consiste a tous ses habits et linges, de quelle nature que ce soit, son crochet d'argent, un diamant, une bague ronde, une bague a fausse pierre qui est rompue, et cent escusblancs d'argent reel, a quoy j'ajoute par bien des considerations, cent francs, compris ses etrennes, qui fait la somme de quattorze cent francs, a part les effets nomm�s d'auttre part. A l'egard du surplus de mes biens, je veux qu'ils soient partagez par egale portion, entre mes trois cheres filles. Je veux que ma maison demeure par indivis neuf ann�es, afin que dans un besoin, mes enfants y ayent leur logement, et comme ma chere fille Pauline est encor jeune, je luy ettablis trois tuteurs, s�avoir mon neveu Louys Francillon, et mon cher beaufils Marcel [the third tuteur is not named !], et lesquels je prie d'avoir soin de son education, et de sa part de bien que je luy laisse, comme de leur propre ; que si contr'esperance, l'un des compartissants n'ettoit pas content du present testament, ils devront prier trois Messieurs de la Chambre des Refugiez pour les mettre d'accord, que s'ils ne pouvoient convenir et qu'ils voulissent plaider, je veux que cent escusblancs soient prelevez a la part de celuy ou de celle qui ne sera pas contente, avant que de paroitre par devant aucune justice, lesquels cent escusblancs seront au benefice de parties qui seront contentes, ce qui est ma derni�re volont�, voulant et entendant que le present testament ait son plein effet, le croiant suivant les loix de ce pays, cassant et annullant tous auttres testaments precedents, fait de ma main a Lausanne, ce vingt sixi�me Mars, Mille sept cent et trente quattre, 1734.
Sign�, Samuel Cellier.
Pour temoigner la sincere affection, que j'ay pour mes chers enfants, je donne a chere Susette Marcel une cueuillere et une fourchette d'argent, des derniers que j'ay fait faire. Je donne a ma chere Jeannette ma montre d'argent. Je donne a ma chere Pauline ma Cueuillere et une fourchette des m�mes que dessus.
Fait a Lausanne, ce premier Avril 1734.
Sign� Samuel Cellier.
Je donne a Marcel mon petit fils une paire de petits boutons d'argent, pour manches de chemises.
Transcript of her testament, as it was recorded when it was probated before the city council of Lausanne:
(ACV Bg 13bis/11)
Testament de Dame Susanne Cellier, femme de Mr. Pierre Marcel, Bourgeois Assoufferte de Lausanne.
Au nom de Dieu, Amen.
L'an Mille Sept cent Septante quatre et le sixi�me fevrier, Dlle. Susanne Cellier, femme de Mr. Pierre Marcel, Petit Bourgeois de Lausanne, se trouvant par la volont� de Dieu d'une sant� ass�s foible, cependant par sa grace de bon sens et Jugement, auroit souhaitt� de faire son testament, qu'elle a dict� au Notaire sousign� de mani�re suivante, sans qu'il ait par� aucune induction, ni sollicitation :
Premi�rement, Elle donne et legue au Pauvres de l'h�pital de cette Ville Dix Florins, et au Pauvres Fran�ais Refugi�s de cette Ville, aussi Dix Florins.
Et comme le chef & fondement d'un bon & valide Testament est l'Institution h�r�ditaire, � ces fins Elle a de sa propre bouche, cr��, nomm�, & Institu� pour ses vrais & l�gitimes heritiers dans tous ses biens, qui consistent � quatre Mille Francs, et � une maison Size en cette Ville � la Rue de la Palud sur laquelle elle doit payer Dix huit Cent Francs qui sont d�s au hoirs de Made. La Ministre Borel, sa soeur, pour Forme de partages, suivant la reconnoissance que ledit Sieur Marcel, Mary de la Testatrice a fait par son Testament, re�eu par le soussign� le 7e Xbre 1767, outre ses meubles & effets, Savoir Messieurs Pierre Louis, Jean Abr�m, Jean Felix, et Paul Samuel Marcel, ses chers fils, et Dlle. Judith Elizabeth Marcel, sa chere fille, ch�qu'un pour la portion cy apr�s d�sign�e, savoir, que les dits ses fils auront entr'eux la moiti� de ses biens, et la dite Dlle. sa fille l'autre moiti�, donnant en outre � cette derni�re toute son argenterie, et un Trousseau qui consiste � la Chambre garnie qui est au second Etage sur le dernier de la Maison, � une Buffet de noyer � deux portes, qu'elle choisira, douze draps neufs, douze serviettes de m�mes, et deux Nappes, tels que la Testatrice en � donn� � ch�cun de ses fils, Plus deux douzaines de serviettes � son choix, quatre Nappes, et douze Essuyemains, aussi � son choix ; Plus toutes ses Nippes, linges, & habits personnels ; Bien entend� que la Testatrice donne au dit Mr. Marcel, son Mary, la jouissance de ses biens pendant sa vie, � l'exception de la Rente de Mille Francs, de dix batz pi�ce, que la Testatrice veut que la dite sa fille puisse jouir d'abord apr�s le d�c�s d'icelle Testatrice, pour lui aider � s'habillier, par lesquels ses heritiers elle veut que, ses dets et les legs pies devant �crits soyent pay�s, renvoyant tous autres pretendants en ses biens, cassant et revoquant tous pr�c�dents Testaments, voulant que le pr�sent sorte son plein & entier effet en Jugement & dehors, comme �tant sa Franche et libre volont� qu'elle a ratifi� dans tout son conten�, Lecture lui en ayant �t� faitte ; Ainsy pass� � Lausanne, en pr�sence de Jean Fran�ois Burdel, de Suchy, habitant en cette Ville, et de Jaques Louis Belet, du Mont, T�moins requis le dit Jour 6e Fevrier 1774.
Sign� Des Tallents, avec paraphe.
Homologu� en Conseil de Lausanne le 13e Juin 1777.
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Baptismal record notes parents as Samuel Cellier and Susanne Meyer sa femme, no witnesses named.
Evidently there were two Jean Centlivres at Moudon about 1578. The first married Louise deTrey, widow of Pierre Frossard in 1577, and the second died about the same time leaving widow Jeanne Riguet who remarried in 1578. Possibly the first is the son of the second.
