|
||||||||||||
|
||||||||||||
Commentaires: À la page 118, l'auteur nous dit que Winslow «had the decency to allow the priest to remove the sacred trappings before moving in..» alors qu'il n'y avait pas de prêtre à Grand-Pré à ce moment là. Pire, à la page 134 il nomme ce prêtre: «The local priest, Father Landry, offered to plead with the men to return...» Dean Jobb fut-il victime d'une mauvaise traduction de l'expression française «le père Landry» signifiant le vieux Landry?. Il n'y a pas eu de prêtre acadien ordonné avant la déportation. Malheureusement ces petites inexactitudes dénotant un manque à la vérification du texte, pourraient laisser planer un doute sur l'ensemble. Lorsque que l'auteur, imaginant l'histoire sans le grand dérangement, extrapole le fait français à l'est de l'Ontario à une majorité de 15 millions d'Acadiens, il risque l'affolement de certains lecteurs. Car on pourrait tout aussi bien extrapoler une loi sur l'affichage, des règles strictes d'accès à l'école anglaise, telle la fameuse loi 101 du Québec. Pour certains cela aurait pour effet de justifier les actes de Lawrence.. |